La préfète très embarrassée par une question sur la cascade de Salles-la-Source lors de la Saint-Bourrou
La préfète plus qu’embarrassée par une question sur la cascade de Salles-la-Source lors de la #SaintBourrou 2019…
Interrogée ce matin par Yves Garric, vice-président de « Ranimons la cascade ! », celle-ci répond de manière volubile à une question sur les vignerons du Vallon puis loue la beauté des paysages de la région.
Changement de ton soudain à la troisième question qui porte sur la cascade de Salles-la-Source qui la laisse muette avant qu’elle ne se raccroche aux vieux arguments des années 2013 : « je ne peux pas me prononcer du fait qu’il y a des procédures judiciaires en cours.
A noter qu’en dépit de ces fameuses procédures judiciaires en cours, les deux précédents préfets se sont exprimés. Le préfet combes a demandé une mission d’inspection ministérielle et le préfet Laugier a annoncé solennellement lors d’une conférence de presse en 2016 que « l’Etat rendait la cascade à Salles-la-Source ».
Le turbinage a repris depuis et le dialogue s’est définitivement figé avec la préfète Catherine Sarlandie de la Robertie qui, depuis son arrivée en Aveyron en janvier 2018, refuse catégoriquement de recevoir les représentants de « Ranimons la cascade ! », y compris sur les aspects non concernés par les « procédures judiciaires »…
Le 22 juin prochain, nous demanderons à nouveau à la préfète l’ouverture du dialogue.
A écouter le silence embarrassé de la préfète, on comprend qu’elle n’est pas bien dans ses basquettes…
Effectivement cette dame paraît tout d’un coup tétanisée rien qu’en entendant parler du dossier de la cascade…
C’est effectivement tout-à-fait saisissant. C’est sans doute révélateur de ce que ce dossier représente aujourd’hui pour la préfecture.
Docteur Freud, pourriez-vous nous éclairer sur ce que cela traduit de l’inconscient de la préfète ?
Même pas l’élégance de s’en sortir par ce bla-bla-bla et cette langue de bois dont elle semble pourtant experte dans le début de son entretien…