LA CASCADE, ATOUT EXCEPTIONNEL POUR LE DEVELOPPEMENT DU VALLON

Les maires de la communauté de communes du Vallon de Marcillac ont écrit, sous la plume de Jacques Hourdequin,  à notre nouvelle prefet, Cécile Pozzo di Borgo, pour attirer son attention sur le devenir du  site majeur de Salles-la-Source, présenté comme « la porte du Vallon » : 

Depuis plus de 100 ans, de nombreuses cartes postales attestent de la haute valeur patrimoniale du site pour tous les Aveyronnais

 « Les maires du territoire souhaitent attirer votre attention sur le devenir de la cascade de Salles la Source. 

La valeur patrimoniale et l’intérêt de ce site sont des atouts exceptionnels pour le développement économique de notre communauté de communes; Entre Rodez et Conques, le bourg de Salles la Source, village classé dont la cascade est un site majeur, est la porte du vallon. 

La Communauté de Communes « Causse et Vallon de Marcillac» apporte son soutien sans faille aux actions de défense du site menées par la mairie et l’association «sauvons la cascade» et plus particulièrement, elle souhaite voir évoluer l’instruction de ce dossier dans le sens de la protection du site au détriment de là production hydro électrique. 

La dynamique de notre industrie touristique ne saurait être hypothéquée par une décision qui protègerait des intérêts particuliers dont la dimension écologique devra être démontrée. 

Nous vous remercions de bien vouloir apporter une attention particulière à ce dossier. »

Signé :  Jacques Hourdequin, président de la Communauté de communes

 6 décembreinformation diffusée le 5 décembre sur Radio-Totem :

« Les maires de la communauté de communes des Causse et Vallon de Marcillac apportent leur soutien à l’association « Ranimons la casacade ». Dans un courrier adressé à la préfète, le président de la communauté de communes, Jacques Hourdequin, souhaite voir évoluer l’instruction de ce dossier dans le sens de la protection du site au détriment de la production hydro-électrique. Il écrit encore que la « dynamique de l’industrie touristique ne saurait être hypothéquée par une décision qui protègerait des intérêts particuliers dont la dimension écologique devra être démontrée ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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